Jugement De Valeurs Testo
Testo Jugement De Valeurs
[Couplet 1]
L'amitié : seul le temps la fortifie
Dans son langage aucune pitié, nage là où tout se mortifie
Avec l’âge elle s’affaiblit au gré des itinéraires
Malgré nos adages on oublie jusqu’au regret funéraire
L’humilité promettait un havre de paix
Mais l’oseille a tout délité sur son cadavre XXX du respect
Les rares qui la ressuscitent valent toutes métaphores
Ce sont des phares les plus forts sur cette route anthracite
La solidarité : mirage ou réalité ? Un éclairage de qualité quand tout est bipolarité
Se prénomme aussi entraide, agit quand tout est menotté
Par magie sur une corde raide, lie les hommes en communauté
Le courage bien sûr qu’il se mesure en acte
Il transforme la blessure en rage, nos fissures en un mur intact
Comme une armure qui git là et que le cœur savoure
Assesseur de nos pugilats souvent sa sœur se nomme bravoure
[Refrain x2]
Subjectif dans mes adjectifs, un jugement de valeur
Un engagement à l’heure où tout meurt pour leurs objectifs
Entre faux derche et vrai compère dans ce décor d’apocalypse
Prêche mes repères, lâche mes flèches de la corde et m’éclipse
[Couplet 2]
L’honneur : une vie pour l’obtenir, une seconde pour le détruire
En ce monde s’y tenir, c’est s’instruire et reconstruire
Une ligne, un chemin tortueux, l’empreinte n’est plus louable
Quand par crainte plus rien n’est jouable, ils guident les dignes, les vertueux
La justice : un fiasco sans équité, ni principe L’ai vu quitter Donnie Brasco, j’ai vu son vice qui s’émancipe
Donner l’Enfer à l’innocent pour deux-trois valises
L’ai vu faire du 10 litres au cent quand ici le roi balise
L’ambition : un cas complexe, poison et remède
A foison me laisse perplexe mais sans excès m'aide
Elle méprise le talent, flirte avec obstination
Heurte ma procrastination aux prises avec mes bras ballants
La confiance, elle se meurt dans un XXX
Rattrapé par la méfiance, l’ai vu en pleurs se faire frapper
Un soir croiser le fer avec défiance et trahison
Broyer du noir à l’horizon, écraser par Lucifer
[Refrain x2]
[Couplet 3]
La patience, pouvoir des sûrs, des compétents
Y’a qu’à voir combien on s’étend, assure en toute âme et conscience
Elle est l’arme du silencieux, jamais ne se pavane
Du judicieux elle ouvre les vannes, une lame sur l’irrévérencieux
La fidélité, l’ai vu semer le doute chez l’homme
Coûte que coûte, tout déliter, pour elle vu s’arracher des mômes
Grande qualité, elle est de mèche avec confiance
L’idée d’une moralité quand le monde prêche la défaillance
La dignité, va-t-elle mourir au fil des âges ?
L’ai vu secourir l’unité comme nourrir les plus beaux messages
C’est la fierté de l’humilié, l’orgueil du dépossédé
L’écueil à tous ces obsédés, la clarté des gens par milliers
Le partage rime souvent avec liens du sang
Un vent de bien dans l’indécent quand la déprime tient en otage
Gage d’adage sans faux semblant quand un des miens soutient
Le temps d’un drapeau teint en blanc je chante que rien ne m’appartient
[Refrain x2]
L'amitié : seul le temps la fortifie
Dans son langage aucune pitié, nage là où tout se mortifie
Avec l’âge elle s’affaiblit au gré des itinéraires
Malgré nos adages on oublie jusqu’au regret funéraire
L’humilité promettait un havre de paix
Mais l’oseille a tout délité sur son cadavre XXX du respect
Les rares qui la ressuscitent valent toutes métaphores
Ce sont des phares les plus forts sur cette route anthracite
La solidarité : mirage ou réalité ? Un éclairage de qualité quand tout est bipolarité
Se prénomme aussi entraide, agit quand tout est menotté
Par magie sur une corde raide, lie les hommes en communauté
Le courage bien sûr qu’il se mesure en acte
Il transforme la blessure en rage, nos fissures en un mur intact
Comme une armure qui git là et que le cœur savoure
Assesseur de nos pugilats souvent sa sœur se nomme bravoure
[Refrain x2]
Subjectif dans mes adjectifs, un jugement de valeur
Un engagement à l’heure où tout meurt pour leurs objectifs
Entre faux derche et vrai compère dans ce décor d’apocalypse
Prêche mes repères, lâche mes flèches de la corde et m’éclipse
[Couplet 2]
L’honneur : une vie pour l’obtenir, une seconde pour le détruire
En ce monde s’y tenir, c’est s’instruire et reconstruire
Une ligne, un chemin tortueux, l’empreinte n’est plus louable
Quand par crainte plus rien n’est jouable, ils guident les dignes, les vertueux
La justice : un fiasco sans équité, ni principe L’ai vu quitter Donnie Brasco, j’ai vu son vice qui s’émancipe
Donner l’Enfer à l’innocent pour deux-trois valises
L’ai vu faire du 10 litres au cent quand ici le roi balise
L’ambition : un cas complexe, poison et remède
A foison me laisse perplexe mais sans excès m'aide
Elle méprise le talent, flirte avec obstination
Heurte ma procrastination aux prises avec mes bras ballants
La confiance, elle se meurt dans un XXX
Rattrapé par la méfiance, l’ai vu en pleurs se faire frapper
Un soir croiser le fer avec défiance et trahison
Broyer du noir à l’horizon, écraser par Lucifer
[Refrain x2]
[Couplet 3]
La patience, pouvoir des sûrs, des compétents
Y’a qu’à voir combien on s’étend, assure en toute âme et conscience
Elle est l’arme du silencieux, jamais ne se pavane
Du judicieux elle ouvre les vannes, une lame sur l’irrévérencieux
La fidélité, l’ai vu semer le doute chez l’homme
Coûte que coûte, tout déliter, pour elle vu s’arracher des mômes
Grande qualité, elle est de mèche avec confiance
L’idée d’une moralité quand le monde prêche la défaillance
La dignité, va-t-elle mourir au fil des âges ?
L’ai vu secourir l’unité comme nourrir les plus beaux messages
C’est la fierté de l’humilié, l’orgueil du dépossédé
L’écueil à tous ces obsédés, la clarté des gens par milliers
Le partage rime souvent avec liens du sang
Un vent de bien dans l’indécent quand la déprime tient en otage
Gage d’adage sans faux semblant quand un des miens soutient
Le temps d’un drapeau teint en blanc je chante que rien ne m’appartient
[Refrain x2]
Lyrics powered by LyricFind