Pour Aller Où ? Testo
Testo Pour Aller Où ?
Parfois je pense à raccrocher le mic partir où personne ne me remarque
Là où je pourrais être moi même entouré des gens que j’aime
Sans avoir besoin de mettre mon masque
J’ai le sentiment de ne pas être à ma place
J’étouffe comme une plante qui manque d’espace
Ça m’empêche de m’épanouir ça commence même à me nuire
Au bout du compte je suis dans une impasse
Réseaux sociaux plumo plato sourire photo papiers journaux
Télé radio je me sens mal dans ma peau Comme si elle n’était pas à ma taille
Au départ j’écrivais pour fuir mes problèmes
Au fil du temps je me suis perdu
Comme si je n’étais qu’une ombre de moi-même
Je ne me reconnais plus
J’ai comme envie de tout plaquer mais
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
J’ai comme envie de tout plaquer mais
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ? J’ai comme envie de tout plaquer
Ils voudraient que je sois leur pantin
Je devrais partir avant que j’en plante un
Avant que je devienne fou
Car la musique je perd le gout
Comme un maffé sans banane plantain
Le milieu est un monde de requin
Ils se battent comme si il ne devrait en rester qu’un
Ils viennent te féliciter sans même au fond le penser
Mais sachez que je n’en déteste aucun
De trains en trains de ville en ville
L’envie s’éteint l’envie se défile
C’est cousu main mais j’en perd le fil
Ma vie d’avant me manque
Au départ j’écrivais pour fuir mes problèmes
Au fil du temps je me suis perdu
Comme si je n’étais qu’une ombre de moi-même
Je ne me reconnais plus
J’ai comme envie de tout plaquer mais
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
J’ai comme envie de tout plaquer mais
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
J’ai comme envie de tout plaquer
Là où je pourrais être moi même entouré des gens que j’aime
Sans avoir besoin de mettre mon masque
J’ai le sentiment de ne pas être à ma place
J’étouffe comme une plante qui manque d’espace
Ça m’empêche de m’épanouir ça commence même à me nuire
Au bout du compte je suis dans une impasse
Réseaux sociaux plumo plato sourire photo papiers journaux
Télé radio je me sens mal dans ma peau Comme si elle n’était pas à ma taille
Au départ j’écrivais pour fuir mes problèmes
Au fil du temps je me suis perdu
Comme si je n’étais qu’une ombre de moi-même
Je ne me reconnais plus
J’ai comme envie de tout plaquer mais
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
J’ai comme envie de tout plaquer mais
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ? J’ai comme envie de tout plaquer
Ils voudraient que je sois leur pantin
Je devrais partir avant que j’en plante un
Avant que je devienne fou
Car la musique je perd le gout
Comme un maffé sans banane plantain
Le milieu est un monde de requin
Ils se battent comme si il ne devrait en rester qu’un
Ils viennent te féliciter sans même au fond le penser
Mais sachez que je n’en déteste aucun
De trains en trains de ville en ville
L’envie s’éteint l’envie se défile
C’est cousu main mais j’en perd le fil
Ma vie d’avant me manque
Au départ j’écrivais pour fuir mes problèmes
Au fil du temps je me suis perdu
Comme si je n’étais qu’une ombre de moi-même
Je ne me reconnais plus
J’ai comme envie de tout plaquer mais
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
J’ai comme envie de tout plaquer mais
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
Pour Aller Ou ?
J’ai comme envie de tout plaquer
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