Du Temps Qui Passe Testo
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Testo Du Temps Qui Passe
Moi, par le temps contraint, presque escroqué, j'ai cru en ce truc,
et dans un troquet, contre un verre j'ai troqué mon trac
en trinquant me sont venu ces vers étriqués et trinquons si ta le
temps, je te raconte
en peu de mots, je taffais depuis des mois chaque heures
était un pas de moins et pas des moindres car j'avançais
rapidement, rescapé démarre et son rap est dément
la nouvelle se repend, comme une épidémie
je te demande pas d'aimé si t'es cap et incapable de capté coupe tout
puisque décidément t'es pas des miens
donc tu peux te moisir, t'as pas d'amis mais tu peux finir avec un tympan de moins
je connais peu de monde parce qu'on est pas du même, mais
t'applaudis même si t'es pas d'humeur à taper des mains
ce ne sont pas des mots, c'est juste un peu de moi
t'as peur d'aimer, garde ton avis si t'es pas du miens
et si t'as pas de meufs, depuis des mois
si t'assure pas des masses .. non non, démissionne pas
stupidement comme ceux qui se tapent un demi pour pas se taper de vents devant d'autres filles
moi, posé sur le canapé, je me kill un ponch et commande un
pichet puis reviens comme un pacha avec le numéro d'une conne
en poche
qu'est ce qui m'en empêche, depuis que j'rap, j'accroche
même sans canne à pêche
janvier, les rappeurs qu'aujourd'hui je fait vriller
je vous l'avoue j'avais la fièvre hier et pourtant quand, dans le son je démarre
ce n'est pour moi qu'un poisson d'avril, une farce
à part ça, c'est fou comme le temps passe après avoir fumé
tout mes joins, je me retrouve en juillet, moins joyeux
mais j'étais personne enfin
personne d'autre ou plutôt quelqu'un qui m'aime
de mois d'aout en septembre après s'être embrouillé
avec un rap brillant, j'ai vite appris qu'il avait rien compris mais j'étais prêt
j'ai tout appris, je suis monté pro, on m'as dit: met ta prose à moitie prix
dit jamais que t'es baraque ici quand ta que t'es bras
qu'est ce que tu peux faire contre le froid quand octobre est la.
donc en novembre, j'écris pour dire que nos ventres sont
vides et cris que je n'ai pas peur d'mourir, juste de ne pas
vivre car nous serons plus que des cendres quand viendras
décembre
la vie est un livre qu'on ne peu lire qu'une seule fois
on aimerais parfois pouvoir revenir à la page ou l'on naît
parce que celle ou l'on meurt est bientôt sous nos doigts
déjà la dernière ligne, il faut lire entre les mots pour
s'apercevoir que sont déjà passer tout les mois de l'année
je suis pas l'artiste mais c'est pour l'éternité
de la maternité à la retraite
cet air trotte dans toutes les têtes et mon art traite du
temps qui nous trainent
tous du berceau à la tombe, un peu des premiers mots de ce
morceau, à la chute...
et dans un troquet, contre un verre j'ai troqué mon trac
en trinquant me sont venu ces vers étriqués et trinquons si ta le
temps, je te raconte
en peu de mots, je taffais depuis des mois chaque heures
était un pas de moins et pas des moindres car j'avançais
rapidement, rescapé démarre et son rap est dément
la nouvelle se repend, comme une épidémie
puisque décidément t'es pas des miens
donc tu peux te moisir, t'as pas d'amis mais tu peux finir avec un tympan de moins
je connais peu de monde parce qu'on est pas du même, mais
t'applaudis même si t'es pas d'humeur à taper des mains
ce ne sont pas des mots, c'est juste un peu de moi
t'as peur d'aimer, garde ton avis si t'es pas du miens
et si t'as pas de meufs, depuis des mois
si t'assure pas des masses .. non non, démissionne pas
stupidement comme ceux qui se tapent un demi pour pas se taper de vents devant d'autres filles
moi, posé sur le canapé, je me kill un ponch et commande un
pichet puis reviens comme un pacha avec le numéro d'une conne
en poche
qu'est ce qui m'en empêche, depuis que j'rap, j'accroche
même sans canne à pêche
janvier, les rappeurs qu'aujourd'hui je fait vriller
je vous l'avoue j'avais la fièvre hier et pourtant quand, dans le son je démarre
ce n'est pour moi qu'un poisson d'avril, une farce
à part ça, c'est fou comme le temps passe après avoir fumé
tout mes joins, je me retrouve en juillet, moins joyeux
mais j'étais personne enfin
personne d'autre ou plutôt quelqu'un qui m'aime
de mois d'aout en septembre après s'être embrouillé
avec un rap brillant, j'ai vite appris qu'il avait rien compris mais j'étais prêt
j'ai tout appris, je suis monté pro, on m'as dit: met ta prose à moitie prix
dit jamais que t'es baraque ici quand ta que t'es bras
qu'est ce que tu peux faire contre le froid quand octobre est la.
donc en novembre, j'écris pour dire que nos ventres sont
vides et cris que je n'ai pas peur d'mourir, juste de ne pas
vivre car nous serons plus que des cendres quand viendras
décembre
la vie est un livre qu'on ne peu lire qu'une seule fois
on aimerais parfois pouvoir revenir à la page ou l'on naît
parce que celle ou l'on meurt est bientôt sous nos doigts
déjà la dernière ligne, il faut lire entre les mots pour
s'apercevoir que sont déjà passer tout les mois de l'année
je suis pas l'artiste mais c'est pour l'éternité
de la maternité à la retraite
cet air trotte dans toutes les têtes et mon art traite du
temps qui nous trainent
tous du berceau à la tombe, un peu des premiers mots de ce
morceau, à la chute...
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