Où Va La Vie ? Testo
Testo Où Va La Vie ?
Chaque jour je remercie le ciel
Toujours conscient de mon privilège
D'aller sur un chemin qui me tient loin de tout piège
Chouette balade, l'incertitude, douce compagne
J'ai fuit ces grises contrées dans l'ennui et le bagne
Et le bourreau à maintes reprises
Ce que je veux, la même chose que les autres
J'ai pas à en avoir honte
J'inspire au calme dans mon coeur dans ma tête et mon compte
Sachant que dans mes jardins secrets comme tous j'ai des roses et des ronces Poings serrés je fais mes choix, c'est seul que je rendrai les comptes
Aucun regret à titre posthume, jme tiens et j'assume
Cette voie sinueuse où chaque mot est doux comme une lame et dur comme une plume
Les dents j'ai du m'aiguiser, couper les fils de mes membres
Les doutes j'ai dû les terrasser avant que ce ne soient eux qui m'étendent
Le but de ma lutte, avoir le droit de choisir aussi longtemps que possible
Et si et bonheur vient en prime je pense pas que ça puisse être nuisible
Je sais que banale est ma quête à l'inverse de mon procédé
Les bras tendus dans le noir j'erre en fait tout ce que je peux faire c'est
Avancer, sans vraiment savoir si
Mon ciel sera bleu ou gris
Si il fera jour ou nuit dans les couloirs de ma vie
Tant pis si le temps fuit
Je sais seulement ce que je suis
Et le reste n'est qu'un grand pari
J'aimerais bien savoir ce que la vie me réserve
Pour l'instant je fais comme tous, je vis sur mes réserves
Le nez pointé sur mes feuilles mais ma tête je sais pas où Comme si j'étais ailleurs et pourtant les pieds bien sur terre où
Où on veut tout planifier bien sûr sans penser au destin
Le facteur qui fait que tu trouves ta voie dans ton chemin
L'incertitude me mène depuis le début vers mon jackpot
Mais ça tu gagnes sec à part moi et mes potes
Unis comme les doigts de la main
Unis contre le mauvais sort, pour le bien
Unis pour que chaque heure soit plus que bien
Aprés ce qui arrive, on suit l'arrivée on relativise, on relate ce qui divise et on se serre les coudes
Le tout est de mettre un sac pour sa volonté
Voilà pourquoi vos tympans on continue à les violenter
Avec ce son qui sort de mes tripes, je ferai de ma life une sale vibe après ce qu'il y a autour j'en sais rien
Avancer, sans vraiment savoir si
Mon ciel sera bleu ou gris
Si ce que je suis était écrit
Je m'ennuie, tant mieux si le temps suit
Conscient que rien n'est acquis
Chaque jour je me donne un sursis
Qui peut dire quand mon coeur cessera de battre ?
Quand ma langue sera vaine à mes sens, ne pouvant plus donner d'images à mes rêves?
Murmures sur mes lèvres
Ces airs que j'aimais chanter, toute cette armée de quatrains que j'ai enfanté
C'est en marchant vers Thèbes un soir de mai
La désillusion a frappé plus fort que je peux l'encaisser
Elle a brisé mes vertèbres, j'ai eu si mal mon coeur triste en témoigne
Les séquelles s'éloignent et je reste là comme un chien dans la plaine
On pointe de l'index alors je pousse le majeur en retour
La variété voudrait me passer l'annulaire mais j'ai toujours un 16 en recours, extra curiculaire
J'écoute leurs balivernes filtrées derrière mes auriculaires
Ils poussent l'avenir au bûcher, le temps de vouloir me voir réussir
Puis tendent le pied pour me faire trébucher
"Esprit complexe, rime complexe"décrit mon texte,
Demain c'est moi encore plus vrai dans le soucis complexe
Avancer sans vraiment savoir si
Mon ciel sera bleu ou gris
Même si je n'ai pas de garanti
Choisir, tant mieux si le vent suit
Conscient que rien n'est acquis
Je rejoue ma vie a l'infini
Où va la vie ? Qu'est ce que j'en sais ?
Toujours conscient de mon privilège
D'aller sur un chemin qui me tient loin de tout piège
Chouette balade, l'incertitude, douce compagne
J'ai fuit ces grises contrées dans l'ennui et le bagne
Et le bourreau à maintes reprises
Ce que je veux, la même chose que les autres
J'ai pas à en avoir honte
J'inspire au calme dans mon coeur dans ma tête et mon compte
Sachant que dans mes jardins secrets comme tous j'ai des roses et des ronces Poings serrés je fais mes choix, c'est seul que je rendrai les comptes
Aucun regret à titre posthume, jme tiens et j'assume
Cette voie sinueuse où chaque mot est doux comme une lame et dur comme une plume
Les dents j'ai du m'aiguiser, couper les fils de mes membres
Les doutes j'ai dû les terrasser avant que ce ne soient eux qui m'étendent
Le but de ma lutte, avoir le droit de choisir aussi longtemps que possible
Et si et bonheur vient en prime je pense pas que ça puisse être nuisible
Je sais que banale est ma quête à l'inverse de mon procédé
Les bras tendus dans le noir j'erre en fait tout ce que je peux faire c'est
Avancer, sans vraiment savoir si
Mon ciel sera bleu ou gris
Si il fera jour ou nuit dans les couloirs de ma vie
Tant pis si le temps fuit
Je sais seulement ce que je suis
Et le reste n'est qu'un grand pari
J'aimerais bien savoir ce que la vie me réserve
Pour l'instant je fais comme tous, je vis sur mes réserves
Le nez pointé sur mes feuilles mais ma tête je sais pas où Comme si j'étais ailleurs et pourtant les pieds bien sur terre où
Où on veut tout planifier bien sûr sans penser au destin
Le facteur qui fait que tu trouves ta voie dans ton chemin
L'incertitude me mène depuis le début vers mon jackpot
Mais ça tu gagnes sec à part moi et mes potes
Unis comme les doigts de la main
Unis contre le mauvais sort, pour le bien
Unis pour que chaque heure soit plus que bien
Aprés ce qui arrive, on suit l'arrivée on relativise, on relate ce qui divise et on se serre les coudes
Le tout est de mettre un sac pour sa volonté
Voilà pourquoi vos tympans on continue à les violenter
Avec ce son qui sort de mes tripes, je ferai de ma life une sale vibe après ce qu'il y a autour j'en sais rien
Avancer, sans vraiment savoir si
Mon ciel sera bleu ou gris
Si ce que je suis était écrit
Je m'ennuie, tant mieux si le temps suit
Conscient que rien n'est acquis
Chaque jour je me donne un sursis
Qui peut dire quand mon coeur cessera de battre ?
Quand ma langue sera vaine à mes sens, ne pouvant plus donner d'images à mes rêves?
Murmures sur mes lèvres
Ces airs que j'aimais chanter, toute cette armée de quatrains que j'ai enfanté
C'est en marchant vers Thèbes un soir de mai
La désillusion a frappé plus fort que je peux l'encaisser
Elle a brisé mes vertèbres, j'ai eu si mal mon coeur triste en témoigne
Les séquelles s'éloignent et je reste là comme un chien dans la plaine
On pointe de l'index alors je pousse le majeur en retour
La variété voudrait me passer l'annulaire mais j'ai toujours un 16 en recours, extra curiculaire
J'écoute leurs balivernes filtrées derrière mes auriculaires
Ils poussent l'avenir au bûcher, le temps de vouloir me voir réussir
Puis tendent le pied pour me faire trébucher
"Esprit complexe, rime complexe"décrit mon texte,
Demain c'est moi encore plus vrai dans le soucis complexe
Avancer sans vraiment savoir si
Mon ciel sera bleu ou gris
Même si je n'ai pas de garanti
Choisir, tant mieux si le vent suit
Conscient que rien n'est acquis
Je rejoue ma vie a l'infini
Où va la vie ? Qu'est ce que j'en sais ?
SIGLER, BUNNY / FRAGIONE, PHILIPPE TRISTAN / MUSSARD, GEOFFROY / BRAHIMI, ABDELMALEK
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