La Ville Testo
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Testo La Ville
Un jour j'ai quitté mon village
Pour la ville et en arrivant
J'ai cru qu'une main de géant
Venait de frapper mon visage
La ville dansait à mes yeux
Comme un ballet exeptionnel
Réglé par les forces du ciel
Animé par le feu de Dieu, feu de Dieu
De la terre semblaient jaillir
Les accords d'une symphonie
Composée de sons et de bruits,
De cris, de larmes et de rires.
Et les feux rouges, jaunes et verts,
S'allumaient pour réglementer
La marche plus ou moins pressée
De tout un monde bariolé, et
Des uniformes battaient la mesure
Avec un bâton blanc
Dirigeant le grand trafic
De cette masse en mouvement
Ce monstre gris à mille bouches
Appelé métropolitain
Semblait happer ou rejeter L'immense flot humain
Je pensais attention
La ville est une étrange dame
Dont le coeur a le goût du drame
Elle est sans feu, elle est sans âme
Elle est comme un gouffre sans fond Pourtant j'étais émerveillé
De ce que j'avais découvert
Coeur battant, les yeux grands ouverts
Avec l'impression de rêver éveillé
Sans savoir que je pénétrais
Dans le temple des illusions
Entraîné dans un tourbillon insensé
Quand dans la houle incessante
Et la foule puissante
Une fille avec un teint de plâtre
M'a dit viens toi qui portes en ton coeur
Les eaux fortes d'ailleurs
Sans regrets entre dans théâtre
Moi dans l'atroce cohue
Comme un gosse perdu
Croyant que c'était ma providence
Je l'ai suivie tout le jour
Mais dans ma nuit d'amour
Elle a ri (3x)
Attention, attention
La ville est une étrange dame
Dont le coeur a le goût du drame
Elle est sans feu, elle est sans âme
Elle a volé mes illusions
Adieu ma ville au coeur cruel
Faux paradis pour malheureux
Qui me jetait la poudre aux yeux
Pour m'empêcher de voir le ciel,réel
Et dans le froid du petit jour
Si je repars désabusé
C'est dans l'espoir de retrouver
Ma maison, mon soleil
Mes amis, mes amours
Pour la ville et en arrivant
J'ai cru qu'une main de géant
Venait de frapper mon visage
La ville dansait à mes yeux
Comme un ballet exeptionnel
Réglé par les forces du ciel
Animé par le feu de Dieu, feu de Dieu
De la terre semblaient jaillir
Composée de sons et de bruits,
De cris, de larmes et de rires.
Et les feux rouges, jaunes et verts,
S'allumaient pour réglementer
La marche plus ou moins pressée
De tout un monde bariolé, et
Des uniformes battaient la mesure
Avec un bâton blanc
Dirigeant le grand trafic
De cette masse en mouvement
Ce monstre gris à mille bouches
Appelé métropolitain
Semblait happer ou rejeter L'immense flot humain
Je pensais attention
La ville est une étrange dame
Dont le coeur a le goût du drame
Elle est sans feu, elle est sans âme
Elle est comme un gouffre sans fond Pourtant j'étais émerveillé
De ce que j'avais découvert
Coeur battant, les yeux grands ouverts
Avec l'impression de rêver éveillé
Sans savoir que je pénétrais
Dans le temple des illusions
Entraîné dans un tourbillon insensé
Quand dans la houle incessante
Et la foule puissante
Une fille avec un teint de plâtre
M'a dit viens toi qui portes en ton coeur
Les eaux fortes d'ailleurs
Sans regrets entre dans théâtre
Moi dans l'atroce cohue
Comme un gosse perdu
Croyant que c'était ma providence
Je l'ai suivie tout le jour
Mais dans ma nuit d'amour
Elle a ri (3x)
Attention, attention
La ville est une étrange dame
Dont le coeur a le goût du drame
Elle est sans feu, elle est sans âme
Elle a volé mes illusions
Adieu ma ville au coeur cruel
Faux paradis pour malheureux
Qui me jetait la poudre aux yeux
Pour m'empêcher de voir le ciel,réel
Et dans le froid du petit jour
Si je repars désabusé
C'est dans l'espoir de retrouver
Ma maison, mon soleil
Mes amis, mes amours
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