Dieu Est Mort Testo
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Testo Dieu Est Mort
Il y a des millions années(bis)
Quand le diable n'était pas né(bis)
Tous les hommes étaient immortels
Mais l'un d'entre eux qui était plus fort
L'un d'entre eux inventa la mort
Ce fut une révolution
Jusque-là les filles étaient belles
On ne se battait pas pour elles(bis)Jusque-là les hommes étaient forts
Mais l'un d'entre eux qui était plus fort
L'un entre eux inventa la mort
Et l'on vit les cheveux blanchir
Et l'on vit les dos se courber
Et l'on vit la vie s'envoler
Des coeurs, des âmes et des corps
Car l'un d'entre eux qui était plus fort
L'un d'entre eux inventa la mort
Alors lui le petit malin
Devint le Dieu, le souverain
Il régnait comme un vrai tyran(bis)
Sur la pluie et sur le beau temps
Sur la pluie, sur le vent du Nord
Il avait inventé la mort(bis)
Il avait inventé l'enfer
Les voleurs et les assassins
La pneumonie et le cancer(bis)
La guerre et les cinquistadors
Il était vraiment le plus fort
Il avait inventé la mort(bis)
Il restait quand même l'amour
Pour les hommes c'était opium Ils s'aimeraient tant qu'ils le pouvaient(bis)
Puis un jour ils se détestaient
Et l'amour devenait la mort(bis)
Ils mouraient de n'importe quoi
De misère, d'un bobo au doigt
En marchant, volant ou nageant(bis)
Dans un lit ,dans un guet-apents
Ils étaient condamnés à mort(bis)
Pour se concillier les faveurs
De l'impitoyable seigneur
On brûla quelques inventeurs(bis)
Des poètes et que sais-je encore
Mais la mort demeurait la mort(bis)
De l'encens, des cierges et des fleurs
Pour faire plaisir à leur Seigneur
De l'encens ,des cierges et des fleurs
Pour faire plaisir à leur Seigneur
Des Credon des Confiteor
Des Pater et que sais-je encore
Mais la mort demeurait la mort(bis)Alors le hommes se sont dit
Que peut-on attendre de lui
Il faudra travailler longtemps(bis) Peut-être pendant cent mille ans Peut-être plus longtemps encore(bis)Alors les hommes
Ont pris un coeur qui ne battait plus
Et puis Lui ont redonné la vie que l'on croyait perdue
Les hommes ont visité les planètes une à une
D'abord
La vieille Lune et Mars et Jupiter et Neptune
Les hommes se sont envolés droit vers les étoiles
Et puis sont revenus tout raconter
Dans leurs cathédrales les hommes
Après avoir longtemps, longtemps cherché
Enfin ont découvert le secret de
L'immortalité
Fous de joie d'avoir découvert
Le grand secret de l'Univers
Ils ont mis leurs plus beaux habits(bis)Et sont partis vers celui qui(bis)
Leur avait inventé la mort(bis)
Ils avaient vraiment bonne mine
Là-haut dans leurs super machines
Mais en arrivant au Palais(bis)
Ils avaient les mains qui tremblaient
Et le coeur qui battait très fort(bis)
Une grande porte s'ouvrit
Et puis d'autres à l'infini
Ils suivirent de longs couloirs(bis)
Un huissier en costume noir
Leur dit:"Messieurs vous venez tard, vous venez tard"
Depuis ce matin à l'aurore(bis)
Dieu est mort
Quand le diable n'était pas né(bis)
Tous les hommes étaient immortels
Mais l'un d'entre eux qui était plus fort
L'un d'entre eux inventa la mort
Ce fut une révolution
Jusque-là les filles étaient belles
On ne se battait pas pour elles(bis)Jusque-là les hommes étaient forts
Mais l'un d'entre eux qui était plus fort
L'un entre eux inventa la mort
Et l'on vit les dos se courber
Et l'on vit la vie s'envoler
Des coeurs, des âmes et des corps
Car l'un d'entre eux qui était plus fort
L'un d'entre eux inventa la mort
Alors lui le petit malin
Devint le Dieu, le souverain
Il régnait comme un vrai tyran(bis)
Sur la pluie et sur le beau temps
Sur la pluie, sur le vent du Nord
Il avait inventé la mort(bis)
Il avait inventé l'enfer
Les voleurs et les assassins
La pneumonie et le cancer(bis)
La guerre et les cinquistadors
Il était vraiment le plus fort
Il avait inventé la mort(bis)
Il restait quand même l'amour
Pour les hommes c'était opium Ils s'aimeraient tant qu'ils le pouvaient(bis)
Puis un jour ils se détestaient
Et l'amour devenait la mort(bis)
Ils mouraient de n'importe quoi
De misère, d'un bobo au doigt
En marchant, volant ou nageant(bis)
Dans un lit ,dans un guet-apents
Ils étaient condamnés à mort(bis)
Pour se concillier les faveurs
De l'impitoyable seigneur
On brûla quelques inventeurs(bis)
Des poètes et que sais-je encore
Mais la mort demeurait la mort(bis)
De l'encens, des cierges et des fleurs
Pour faire plaisir à leur Seigneur
De l'encens ,des cierges et des fleurs
Pour faire plaisir à leur Seigneur
Des Credon des Confiteor
Des Pater et que sais-je encore
Mais la mort demeurait la mort(bis)Alors le hommes se sont dit
Que peut-on attendre de lui
Il faudra travailler longtemps(bis) Peut-être pendant cent mille ans Peut-être plus longtemps encore(bis)Alors les hommes
Ont pris un coeur qui ne battait plus
Et puis Lui ont redonné la vie que l'on croyait perdue
Les hommes ont visité les planètes une à une
D'abord
La vieille Lune et Mars et Jupiter et Neptune
Les hommes se sont envolés droit vers les étoiles
Et puis sont revenus tout raconter
Dans leurs cathédrales les hommes
Après avoir longtemps, longtemps cherché
Enfin ont découvert le secret de
L'immortalité
Fous de joie d'avoir découvert
Le grand secret de l'Univers
Ils ont mis leurs plus beaux habits(bis)Et sont partis vers celui qui(bis)
Leur avait inventé la mort(bis)
Ils avaient vraiment bonne mine
Là-haut dans leurs super machines
Mais en arrivant au Palais(bis)
Ils avaient les mains qui tremblaient
Et le coeur qui battait très fort(bis)
Une grande porte s'ouvrit
Et puis d'autres à l'infini
Ils suivirent de longs couloirs(bis)
Un huissier en costume noir
Leur dit:"Messieurs vous venez tard, vous venez tard"
Depuis ce matin à l'aurore(bis)
Dieu est mort
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