Cœur Noir Testo
Testo Cœur Noir
Bienv’nue dans un monde vato où l’amitié est limitée
On votera pour t’niquer ta mère et ça à l’unanimité
D’être comme eux épargnez moi
J’ai pas vu mon av’nir sur l’parchemin
Ce soir j’repasse chez moi et puis j’me barre demain
Boire leurs paroles jusqu’à la crise de foie
Au fond j’men fous en vrai de qui de quoi
J’regarde ma ville bruler depuis le toit
Devant l’futur le regard appeuré
Vous vous aimiez tous à peu près Puis tes soit disant freres ont cessé d’appeler
Première embrouille téma l’comportement
Qu’est c’qui emporte le vent
Ou bien qui porte le nom d’la mort comme un avortement ?
Lorsque l’on mise sur les gens l’cerveau s’éteint
Le coeur s’emballe
Mauvais investissement comme un tee shirt à 300 balles
Avant l’intelligence l’être humain passera par très con
Juger avant d’connaitre les autres comme un rom au passage piéton
Frères ? On ne l’était déja pas tous hier
Aujourd’hui ca promet
Et demain les paroles s’envol’ront comme un ama d’poussière
Des bandits traités comme des cailleras
Des souffifres aiguisés,100 calés là
Des sourires déguisés d’vant caméra
Il faut faire comme les autres alors tu lis ton script
Au fond t’es jamais à ta place, trimballé comme un litron d’shit
Et tout c’que l’homme sait faire vato sur Terre c’est rabacher
Ferme ta grande gueule
On verra ta face cachée poignets attachés Quelques liasses quelques morts quelques rêves
Un peu de toi un peu de moi un peu de haine et quelques trêves
T’avances avec les tiens et puis c’est sale alors c’est sans
D’abord c’est si et puis c’est ça
Et les erreurs font pisser l’sang
La fin en vrai c’est rien et c’qui effraie en vrai c’est vivre
Mais toi tu sais pas t’arrêter à temps comme une putain d’mauvaise série
On s’étonne pourtant c’était marqué dans l’corpus
On s’ra aimé puis détésté ou détésté puis haï encore plus
De la hargne dans les tripes avec un semblant d’équité
On a changé de but, on change d’équipe, on chang’ra d’équipier
Puis j’suis parti car on t’prend pour un con quand t’es pas distant
Et dans mon coeur y’avait plus d’place comme au pakistan
Litrons écoulés, quelques amitiés écourtées
Si certains avaient écouté y’aurait moins de rêves échoués
Pour quelques kil’ certains dans la flûte sont passés maître
Mais t’as rien écouté quand j’t’ai dis j’sais pas j’sens pas ces mecs
Bref tout ca j’pourrai t’en faire des milliers d’lettres
Les faux essaient de devenir vrais
Pendant qu’les vrais sont fatigués d’l’être …
On votera pour t’niquer ta mère et ça à l’unanimité
D’être comme eux épargnez moi
J’ai pas vu mon av’nir sur l’parchemin
Ce soir j’repasse chez moi et puis j’me barre demain
Boire leurs paroles jusqu’à la crise de foie
Au fond j’men fous en vrai de qui de quoi
J’regarde ma ville bruler depuis le toit
Devant l’futur le regard appeuré
Vous vous aimiez tous à peu près Puis tes soit disant freres ont cessé d’appeler
Première embrouille téma l’comportement
Qu’est c’qui emporte le vent
Ou bien qui porte le nom d’la mort comme un avortement ?
Lorsque l’on mise sur les gens l’cerveau s’éteint
Le coeur s’emballe
Mauvais investissement comme un tee shirt à 300 balles
Avant l’intelligence l’être humain passera par très con
Juger avant d’connaitre les autres comme un rom au passage piéton
Frères ? On ne l’était déja pas tous hier
Aujourd’hui ca promet
Et demain les paroles s’envol’ront comme un ama d’poussière
Des bandits traités comme des cailleras
Des souffifres aiguisés,100 calés là
Des sourires déguisés d’vant caméra
Il faut faire comme les autres alors tu lis ton script
Au fond t’es jamais à ta place, trimballé comme un litron d’shit
Et tout c’que l’homme sait faire vato sur Terre c’est rabacher
Ferme ta grande gueule
On verra ta face cachée poignets attachés Quelques liasses quelques morts quelques rêves
Un peu de toi un peu de moi un peu de haine et quelques trêves
T’avances avec les tiens et puis c’est sale alors c’est sans
D’abord c’est si et puis c’est ça
Et les erreurs font pisser l’sang
La fin en vrai c’est rien et c’qui effraie en vrai c’est vivre
Mais toi tu sais pas t’arrêter à temps comme une putain d’mauvaise série
On s’étonne pourtant c’était marqué dans l’corpus
On s’ra aimé puis détésté ou détésté puis haï encore plus
De la hargne dans les tripes avec un semblant d’équité
On a changé de but, on change d’équipe, on chang’ra d’équipier
Puis j’suis parti car on t’prend pour un con quand t’es pas distant
Et dans mon coeur y’avait plus d’place comme au pakistan
Litrons écoulés, quelques amitiés écourtées
Si certains avaient écouté y’aurait moins de rêves échoués
Pour quelques kil’ certains dans la flûte sont passés maître
Mais t’as rien écouté quand j’t’ai dis j’sais pas j’sens pas ces mecs
Bref tout ca j’pourrai t’en faire des milliers d’lettres
Les faux essaient de devenir vrais
Pendant qu’les vrais sont fatigués d’l’être …
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