À La Fois Testo
Testo À La Fois
Peut-on vivre ensemble ?
On allie nos voix pour se dépasser,
La musique nous rassemble
Je me sens chez moi partout et nulle part à la fois,
Et j'ai toujours ce caillou qui me gêne à chaque pas.
Des principes qui nous rendent fous et nous séparent parfois,
On s'endurcit à chaque coup et repart au combat.
Seuls même parmi la foule et le monde entre les bras,
Fais sauter les verrous de ces prisons d'autrefois. En moi ce sang qui coule est gaulois comme yorouba,
Donc je me sens chez moi partout et nulle part à la fois.
On a tous un rêve une terre promise,
Là où tout s'achève et tout commence.
D'aussi loin que nos histoires divisent,
Je serai chez moi malgré les violences.
Nos fiertés survivent et se déguisent,
Au-delà des blessures, au-delà des offenses.
Liberté pour les hommes quoi qu'on dise,
Je ne peux choisir ce qui pèse sur la balance.
Tous sur le même bateau, mais pas le même sol,
On a tous un drapeau et certains me désolent.
Chacun ses idéaux, pas les mêmes symboles,
On devient tous égaux quand la mort nous isole.
Pas la peine de venir me dire ce qui ne va pas
Chacun son histoire que personne ne l'efface.
On est sur la même route, mais pas la même voie, Là où je suis, là où je vais, ça j'y pense.
Je me sens chez moi partout et nulle part à la fois,
Et j'ai toujours ce caillou qui me gêne à chaque pas.
Des principes qui nous rendent fous et nous séparent parfois,
On s'endurcit à chaque coup et repart au combat.
Seuls même parmi la foule et le monde entre les bras,
Fais sauter les verrous de ces prisons d'autrefois.
En moi ce sang qui coule est gaulois comme yorouba,
Donc je me sens chez moi partout et nulle part à la fois.
Ne me parle pas de remplacement,
Juste mélanges et sentiments !
Le passé n'est pas devant,
J'écoute l'ancien mais j'avance.
Et qui dit vrai ? Et qui ment ?
Qui seraient les vrais savants ?
Qui piétinent tous nos tourments ?
Mais nos pensées les devancent.
Mais dis-moi quel monde et quels peuples seraient menacés ?
Par nos familles, nos gênes ou nos sensibilités ?
Mais quel avenir serait plus civilisé,
Un futur fait ensemble ou un avenir divisé ?
Nos valeurs ne sont pas actuelles,
Du futur nous sommes l'essentiel.
N'aies pas peur que ça se renouvelle,
Laisse la haine se briser les ailes.
Face à face nos vies en duel,
Que nos fils ne soient pas pareils.
Tous prêts à répondre à l'appel,
D'un monde qui ne sera jamais le même.
Je me sens chez moi partout et nulle part à la fois,
Et j'ai toujours ce caillou qui me gêne à chaque pas.
Des principes qui nous rendent fous et nous séparent parfois,
On s'endurcit à chaque coup et repart au combat.
Seuls même parmi la foule et le monde entre les bras,
Fais sauter les verrous de ces prisons d'autrefois.
En moi ce sang qui coule est gaulois comme yorouba,
Donc je me sens chez moi partout et nulle part à la fois.
Je me sens chez moi partout et nulle part à la fois,
Sans frontière est notre résidence.
On s'endurcit à chaque coup et repart au combat.
Vivre ensemble devient une évidence.
Seul même parmi la foule et le monde entre les bras,
La musique est notre délivrance.
En moi ce sang qui coule est gaulois comme yorouba
On allie nos voix pour se dépasser,
La musique nous rassemble
Je me sens chez moi partout et nulle part à la fois,
Et j'ai toujours ce caillou qui me gêne à chaque pas.
Des principes qui nous rendent fous et nous séparent parfois,
On s'endurcit à chaque coup et repart au combat.
Seuls même parmi la foule et le monde entre les bras,
Fais sauter les verrous de ces prisons d'autrefois. En moi ce sang qui coule est gaulois comme yorouba,
Donc je me sens chez moi partout et nulle part à la fois.
On a tous un rêve une terre promise,
Là où tout s'achève et tout commence.
D'aussi loin que nos histoires divisent,
Je serai chez moi malgré les violences.
Nos fiertés survivent et se déguisent,
Au-delà des blessures, au-delà des offenses.
Liberté pour les hommes quoi qu'on dise,
Je ne peux choisir ce qui pèse sur la balance.
Tous sur le même bateau, mais pas le même sol,
On a tous un drapeau et certains me désolent.
Chacun ses idéaux, pas les mêmes symboles,
On devient tous égaux quand la mort nous isole.
Pas la peine de venir me dire ce qui ne va pas
Chacun son histoire que personne ne l'efface.
On est sur la même route, mais pas la même voie, Là où je suis, là où je vais, ça j'y pense.
Je me sens chez moi partout et nulle part à la fois,
Et j'ai toujours ce caillou qui me gêne à chaque pas.
Des principes qui nous rendent fous et nous séparent parfois,
On s'endurcit à chaque coup et repart au combat.
Seuls même parmi la foule et le monde entre les bras,
Fais sauter les verrous de ces prisons d'autrefois.
En moi ce sang qui coule est gaulois comme yorouba,
Donc je me sens chez moi partout et nulle part à la fois.
Ne me parle pas de remplacement,
Juste mélanges et sentiments !
Le passé n'est pas devant,
J'écoute l'ancien mais j'avance.
Et qui dit vrai ? Et qui ment ?
Qui seraient les vrais savants ?
Qui piétinent tous nos tourments ?
Mais nos pensées les devancent.
Mais dis-moi quel monde et quels peuples seraient menacés ?
Par nos familles, nos gênes ou nos sensibilités ?
Mais quel avenir serait plus civilisé,
Un futur fait ensemble ou un avenir divisé ?
Nos valeurs ne sont pas actuelles,
Du futur nous sommes l'essentiel.
N'aies pas peur que ça se renouvelle,
Laisse la haine se briser les ailes.
Face à face nos vies en duel,
Que nos fils ne soient pas pareils.
Tous prêts à répondre à l'appel,
D'un monde qui ne sera jamais le même.
Je me sens chez moi partout et nulle part à la fois,
Et j'ai toujours ce caillou qui me gêne à chaque pas.
Des principes qui nous rendent fous et nous séparent parfois,
On s'endurcit à chaque coup et repart au combat.
Seuls même parmi la foule et le monde entre les bras,
Fais sauter les verrous de ces prisons d'autrefois.
En moi ce sang qui coule est gaulois comme yorouba,
Donc je me sens chez moi partout et nulle part à la fois.
Je me sens chez moi partout et nulle part à la fois,
Sans frontière est notre résidence.
On s'endurcit à chaque coup et repart au combat.
Vivre ensemble devient une évidence.
Seul même parmi la foule et le monde entre les bras,
La musique est notre délivrance.
En moi ce sang qui coule est gaulois comme yorouba
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