Les Arbres Testo
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Testo Les Arbres
Tête de pomme
Tête de noix
Ils se parlent entre les branches
Bille de pin
Gueule de bois
Tu finiras comme une planche
Tête de pomme
Tête de noix
Si tu voyais Comme tu penches
Marronniers
Saules pleureurs
Ils se racontent leur misère
Cerisiers sans tes fleurs
T'as l'air d'un bois ordinaire
Ils s'insultent en douceur
Sapins bleus et Sapins verts
Ces hommes debout tellement fragiles
Comme les croix d'un long cimetière
Depuis des siècles immobiles
Prisonniers d'un jardin de terre
Ce sont des fantômes admirables
Les arbres
Cur gravé
Sur leur corps
Feuilles arrachées par l'orage Centenaire jeune encore
Fatigués du paysage
Chênes verts Chênes morts
Pour eux le temps n'a plus d'âge
Promeneur solitaire
Chaque fois qu'un oiseau s'envole
En forêt de fougère
Tu peux me croire sur paroles
Promeneur solitaire
Moi je te dis qu'ils rigolent
Ces hommes debout tellement fragiles
Comme les croix d'un long cimetière
Depuis des siècles immobiles
Prisonniers d'un jardin de terre
Ce sont des fantômes admirables
Les arbres
Bûcherons de Dordogne
Quand ils voient venir ton heure
Ils se disent quand tu cognes
Que le manche était des leurs
Bûcherons ils pardonnent
Aux crimes et à la douleur
Tête de noix
Ils se parlent entre les branches
Bille de pin
Gueule de bois
Tu finiras comme une planche
Tête de pomme
Tête de noix
Si tu voyais Comme tu penches
Marronniers
Saules pleureurs
Ils se racontent leur misère
Cerisiers sans tes fleurs
T'as l'air d'un bois ordinaire
Ils s'insultent en douceur
Sapins bleus et Sapins verts
Ces hommes debout tellement fragiles
Comme les croix d'un long cimetière
Depuis des siècles immobiles
Prisonniers d'un jardin de terre
Ce sont des fantômes admirables
Les arbres
Cur gravé
Sur leur corps
Feuilles arrachées par l'orage Centenaire jeune encore
Fatigués du paysage
Chênes verts Chênes morts
Pour eux le temps n'a plus d'âge
Promeneur solitaire
Chaque fois qu'un oiseau s'envole
En forêt de fougère
Tu peux me croire sur paroles
Promeneur solitaire
Moi je te dis qu'ils rigolent
Ces hommes debout tellement fragiles
Comme les croix d'un long cimetière
Depuis des siècles immobiles
Prisonniers d'un jardin de terre
Ce sont des fantômes admirables
Les arbres
Bûcherons de Dordogne
Quand ils voient venir ton heure
Ils se disent quand tu cognes
Que le manche était des leurs
Bûcherons ils pardonnent
Aux crimes et à la douleur
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