On Va Tous Mûrir Testo
- Home
- >
- D
- >
- Deux Lyricists
- >
- On Va Tous Mûrir (2013)
- >
- On Va Tous Mûrir
Testo On Va Tous Mûrir
"Ca sent le pet, moi je le note t'as fumé un pet.
De toute façon je le sais, tu vas me dire non j'ai pas fumé de pet ?
Donc aucun intérêt.
La première règle si tu fumes un pet : y'a toujours quelqu'un qui te verra, toujours."
Justin :
Quel est le sort du troupeau des ânes ? La mort est le baton de l'homme
être fort n'est qu'un dogme car le corps est le tombeau de l'âme.
observe le décor, aborde d'abord à babord,
calmos avec ton mépris sinon ou trouvera pas d'accord.
T'en a marre de ce que tu cueille ? t'as plus qu'une seule longue feuille ?
De tes repères fait le deuil, et approche toi des seules qui meulent.
Observe on est combien autour d'une mie de pain
combien sommes nous a faire nétour le jok qu'une fois le bide plein ?
Comment veux tu qu'un môme capte ce dont un prof jacte ?
la chair des hommes est épaisse et son âme est un coffre opaque.
Le choix de la taille des ficelles du hamac nous rendent libre
snare ou clap ? stick ou batte ? glissant sur la plaque de givre
La matière grise bouillonne jusqu'à percer l'absces.
Sans prise, sans méthode, y'a plus que le flou et l'abstrait.
Nos discours ouvrent des portes grincantes, le médecin est absent,
les mots sont des pinces coupantes peu importe l'accent.
Cuts : "Demain c'est loin mais la vitesse raccourcit le temps ...
Peu importe l'accent ... Calmos avec ton mépris sinon ou trouvera pas d'accord ...
Demain c'est loin mais la vitesse raccourcit le temps"
Martin :
T'entends je fuis sans frein, sans tenter de vivre sans refrain
tu peux ap', l'habitude vient même si t'en estime rien.
C'est l'élastique qui te tient qui décide quand tu reviens
tu frissonne bien, chute pour être libre mais bon un truc te retiens.
Feinte de rire sans frein t’appelle ca faire l'enfant ?
C'est Fuster, Follenfant, Deux lyricists qui débarquent en fêtant.
Demain c'est loin mais la vitesse raccourcit le temps,
donc sans frein sa rapproche et le macadam accentue l'élan.
Ma langue délié tant que je monte, aisance indécente
affronte la trouille que je rencontre et mache la gomme quand s'amorce la descente.
Slalom entre les salons, les sommets et l'excellente
sensation d'être un seul homme qui somnole dans ses pensées lentes.
En avance sur le rythme, fuire sans frein quand l'envie se présente
j'aime bien cette tactique et ses effets aux conséquences variantes.
Manière d'écrire donnant des textes aux consonances plaisantes,
manière de vivre donnant des temps aux contextes sonnants.
Tu peux plus ralentir une fois que t'es lancé dans la pente,
t'as beau t'accrocher aux murs, fallait penser pendant l'attente.
Maintenant les alentours défilent, soit tu t'active, soit tu te lamente ?
C'est comme quand t'es devant ta feuille vide priant pour qu'enfin gicle l'encre.
Texte fleuve que t'écoute, tant que ton poste à des piles
fuite écrite même si je doute pendant que mon posca se vide.
Je viens jacter mes aléas, pour m'arracher de leurs poids débiles,
j'radote alea jacta e, arracher sous une pluie fine.
...
Quel est le sort du troupeau des ânes ? La mort est le baton de l'homme
Etre fort n'est qu'un dogme, car le corps est le tombeau de l'âme.
De toute façon je le sais, tu vas me dire non j'ai pas fumé de pet ?
Donc aucun intérêt.
La première règle si tu fumes un pet : y'a toujours quelqu'un qui te verra, toujours."
Justin :
Quel est le sort du troupeau des ânes ? La mort est le baton de l'homme
être fort n'est qu'un dogme car le corps est le tombeau de l'âme.
observe le décor, aborde d'abord à babord,
T'en a marre de ce que tu cueille ? t'as plus qu'une seule longue feuille ?
De tes repères fait le deuil, et approche toi des seules qui meulent.
Observe on est combien autour d'une mie de pain
combien sommes nous a faire nétour le jok qu'une fois le bide plein ?
Comment veux tu qu'un môme capte ce dont un prof jacte ?
la chair des hommes est épaisse et son âme est un coffre opaque.
Le choix de la taille des ficelles du hamac nous rendent libre
snare ou clap ? stick ou batte ? glissant sur la plaque de givre
La matière grise bouillonne jusqu'à percer l'absces.
Sans prise, sans méthode, y'a plus que le flou et l'abstrait.
Nos discours ouvrent des portes grincantes, le médecin est absent,
les mots sont des pinces coupantes peu importe l'accent.
Cuts : "Demain c'est loin mais la vitesse raccourcit le temps ...
Peu importe l'accent ... Calmos avec ton mépris sinon ou trouvera pas d'accord ...
Demain c'est loin mais la vitesse raccourcit le temps"
Martin :
T'entends je fuis sans frein, sans tenter de vivre sans refrain
tu peux ap', l'habitude vient même si t'en estime rien.
C'est l'élastique qui te tient qui décide quand tu reviens
tu frissonne bien, chute pour être libre mais bon un truc te retiens.
Feinte de rire sans frein t’appelle ca faire l'enfant ?
C'est Fuster, Follenfant, Deux lyricists qui débarquent en fêtant.
Demain c'est loin mais la vitesse raccourcit le temps,
donc sans frein sa rapproche et le macadam accentue l'élan.
Ma langue délié tant que je monte, aisance indécente
affronte la trouille que je rencontre et mache la gomme quand s'amorce la descente.
Slalom entre les salons, les sommets et l'excellente
sensation d'être un seul homme qui somnole dans ses pensées lentes.
En avance sur le rythme, fuire sans frein quand l'envie se présente
j'aime bien cette tactique et ses effets aux conséquences variantes.
Manière d'écrire donnant des textes aux consonances plaisantes,
manière de vivre donnant des temps aux contextes sonnants.
Tu peux plus ralentir une fois que t'es lancé dans la pente,
t'as beau t'accrocher aux murs, fallait penser pendant l'attente.
Maintenant les alentours défilent, soit tu t'active, soit tu te lamente ?
C'est comme quand t'es devant ta feuille vide priant pour qu'enfin gicle l'encre.
Texte fleuve que t'écoute, tant que ton poste à des piles
fuite écrite même si je doute pendant que mon posca se vide.
Je viens jacter mes aléas, pour m'arracher de leurs poids débiles,
j'radote alea jacta e, arracher sous une pluie fine.
...
Quel est le sort du troupeau des ânes ? La mort est le baton de l'homme
Etre fort n'est qu'un dogme, car le corps est le tombeau de l'âme.
Lyrics powered by LyricFind