Le Palais De Nos Chimeres Testo
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Testo Le Palais De Nos Chimeres
Nos nous sommes mariés,
Par un jour de printemps,
Sans prêtre sans mairie,
Sans amis ni parents,
Nous n'avions tout au plus,
Elle et moi que vingt ans,
Mais un désir d'adulte,
Brûlait nos coeurs d'enfants.
L'amour en une nuit,
Emancipa nos coeurs,
Nous étions enlacés,
Tout honte de bonheur,
Dans nos yeux aggrandis,
Ne passait nulle peur,
Car la jeunesse rit,
Quand l'enfance se meurt,
Le palais de nos chimères,
Nous l'avions bâtis sur l'horizon,
Et nous saturions la terre,
Elle et moi,
Comme des vagabonds,
Pour s'abreuver à la source,
De l'amour,
Cet éternel printemps,
Nous pnous partagieons la mousse,
Du château de la rose des vents,
A présent je suis seul,
Et je marche toujours,
Mais quand je sentirai,
Venir mon dernier jour,
Sur la tombe où déjà,
Repose mon amour,
Heureux, j'irais m'étendre,
Et mourir à mon tour,
Et sous la croix nos deux corps dormiront,
Nos yeux seront cernés par le même horizon,
Et de la même terre nous bouches s'empliront,
Quand pour l'éternité,
Nos âmes s'uniront.
Le palis de nos chimères,
A croulé,
Avec mes illusion,
Et sous le poids de ces pierres,
Se lézarde, un coeur de vagabond,
Mon passé qui me domine,
Me pousse, à errer,
Par tous les temps,
Et dormir parmi les ruines,
Du château, de la rose des vents.
Par un jour de printemps,
Sans prêtre sans mairie,
Sans amis ni parents,
Nous n'avions tout au plus,
Elle et moi que vingt ans,
Mais un désir d'adulte,
Brûlait nos coeurs d'enfants.
L'amour en une nuit,
Emancipa nos coeurs,
Nous étions enlacés,
Tout honte de bonheur,
Dans nos yeux aggrandis,
Ne passait nulle peur,
Car la jeunesse rit,
Quand l'enfance se meurt,
Le palais de nos chimères,
Nous l'avions bâtis sur l'horizon,
Et nous saturions la terre,
Elle et moi,
Comme des vagabonds,
Pour s'abreuver à la source,
De l'amour,
Cet éternel printemps,
Nous pnous partagieons la mousse,
Du château de la rose des vents,
A présent je suis seul,
Et je marche toujours,
Mais quand je sentirai,
Venir mon dernier jour,
Sur la tombe où déjà,
Repose mon amour,
Heureux, j'irais m'étendre,
Et mourir à mon tour,
Et sous la croix nos deux corps dormiront,
Nos yeux seront cernés par le même horizon,
Et de la même terre nous bouches s'empliront,
Quand pour l'éternité,
Nos âmes s'uniront.
Le palis de nos chimères,
A croulé,
Avec mes illusion,
Et sous le poids de ces pierres,
Se lézarde, un coeur de vagabond,
Mon passé qui me domine,
Me pousse, à errer,
Par tous les temps,
Et dormir parmi les ruines,
Du château, de la rose des vents.
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